Badal Fohmoh

Hier à Ryad, en Arabie Saoudite, s’est tenu le combat de boxe le plus attendu de ces dernières semaines. Francis Ngannou, le predator et champion du monde poids lourd a affronté Fury Tyson, champion invaincu de la boxe Anglaise depuis 2008.

Les deux combattants se sont croisés pour la première fois des semaines plus tôt, avant leur combat d’hier. Comme tout le monde, j’ai pu constater que Fury est bien plus grand de taille que Ngannou. Mais bon, ce sont les coups de poings qui comptent…

Rien de nouveau, le Cameroun, les camerounais et même l’Afrique entière soutenait leur fils : Françis Ngannou. Avant que je n’arrive sur ma perception du combat d’hier, laisse-moi te parler d’un motivateur hors-pair.

Ngannou: une inspiration

Tu sais, le choix d’un rôle modèle en tant qu’entrepreneur tout secteur confondu est très important. Je crois vraiment que Francis Ngannou est un exemple:

#2- Sa détermination, son travail acharné, son amour pour le sport l’ont rendu incontournable, presque invisible aux yeux du monde et ont permis de promouvoir ce sport. Il est parti de zéro à héros.

#2- Sa capacité à se challenger à chaque étape est une ver source de motivation. Quand je regarde d’où il vient, je me dis que rien n’est perdu. Il suffit de bosser dur et de rencontrer de belles opportunités.

#3- Sa simplicité et son humilité dans sa vie quotidienne font de lui l’homme que tous les entrepreneurs qui rêvent grand devraient suivre.

Un point important et non des moindres : le respect de la famille et la reconnaissance pour ceux qui se sont sacrifiés pour lui. N’oublies pas que lorsque tes parents sont fiers de toi et t’accordent leurs bénédictions, cela agit plus vite que celles de Dieu. Regarde un peu sa mère à ses côtés, tu vois toute sa joie ?

Roby Pascal disait lors de son intervention sur les rôles modèles que :

vous pouvez suivre plusieurs personnes parmi lesquelles les sportifs, et leur force doit être un élément de motivation pour vous en fonction de votre activité.

C: Roby Pascal

Revenons au combat d’hier…

Fury Vs Ngannou: le choc des gladiateurs

La bande-annonce du choc des gladiateurs entre Tyson Fury, champion incontesté de la boxe, et Francis Ngannou, star de la MMA, a été dévoilée lundi dernier.

Le combat très attendu des deux hommes qui ont notamment dominé leur discipline; à savoir la boxe et le MMA a réuni de nombreuses personnalités du monde du sport, de la politique, de la musique et bien plus…

L’opposition s’est tenue dans un ring de boxe traditionnel selon les règles de la boxe Anglaise, c’est-à-dire sur 10 rounds. Le britannique Tyson Fury était le grand favori de cette partie.
Car, pour gagner un champion en titre, il faut exactement sinon un peu plus que ce que Francis a offert ajouté à un K.O pour s’affirmer. Surtout du moment que c’est serré dans le comptage, c’est généralement le champion en titre qui en sort vainqueur.

Arrivé dans une tenue de la styliste camerounaise Claude « Lavie » Kameni, Francis Ngannou a réussi à envoyer au tapis le meilleur poids lourd de ces 10 dernières années pour son premier combat de boxe… c’est légendaire ça !

Mon commentaire

Francis Ngannou a tenu le choc contre Tyson Fury sur 10 rounds, pour son premier combat de boxe. Il a réussi à lui infliger un Knockdown !
Les avis sont partagés sur la toile. Entre amateurs et professionnels de la boxe, c’est intéressant de lire tout le monde.

Rien à cirer de la décision des juges, Francis est le grand vainqueur de ce combat.

Les résultats ont-ils été corrompus pour préserver l’honneur d’un sport, le statut d’une légende de la boxe ?

Mais, ils sont où les pro Fury qui insultaient quand on disait que Francis Ngannou avait une chance ?

Fury se prend un Knockdown, tu as même bien vu son visage tuméfié ? A défaut d’un K.O pour la victoire finale, au moins Francis Ngannou nous a gratifié d’un combat digne du Champion qu’il est. Un juge lui donne la victoire.

Avec du recul, je me demande si penser qu’un « novice », lors de son tout premier combat dans une discipline, viens à battre le champion du monde est inacceptable. Même si dans les faits, il l’a effectivement battu ? Ça sonne bien dans tes oreilles ? Est-ce que ça remet en cause la discipline et décrédibilise le champion en titre ? Voilà la seule explication que je trouve à ce combat. Je me dis aussi que les enjeux n’étaient pas uniquement ceux du combat d’hier…

Parce que j’ai l’impression que même si ça avait été un boxeur professionnel dans le circuit et ayant les mêmes performances que Francis, il aurait perdu… Mais pourquoi ? Je ne sais pas. Peut-être c’est la loi du challenger… Il faut faire plus voir 2 fois que le champion. Dans le cas échéant, seul un KO pourrait donner la victoire. Je crois sincèrement que les cas sont légions en sport de combat.

Récemment, Wilder avait mis Fury au sol à deux reprises jusqu’au décompte mais il a perdu à la fin… Mais pourquoi ? Badal n’en sait rien.

Certaines victoires sont humiliantes. Et certaines défaites sont glorieuses. Fury n’a même pas jubilé comme il l’a fait les précédentes fois. Lui-même il dit :

Il m’a donné l’un de mes combats les plus difficiles au cours des 10 dernières années.

C: Tyson Fury à propos de Ngannou après le combat d’hier

Quoiqu’on dise, pour moi, pour les Camerounais, Ngannou est le seul vainqueur de ce combat. Nous sommes imbattables et on tape les gens pour vivre (rire hahahhahahahahahahahhaa).

As-tu quelque chose à rajouter ?

Avec tout mon patriotisme !

Badal

La marque Express Union a dévoilé sa nouvelle identité mercredi dernier à son siège au cours d’une cérémonie.

La micro finance a présenté mercredi dernier, 25 octobre 2023, à son immeuble siège à Yaoundé, sa nouvelle identité visuelle. Cette dernière vient ainsi nfl shop 49ers wigs human hair nike nba miami heat wigs for sale nike san diego padres ASU Jerseys NFL College Jerseys ja morant jersey original adidas juventus 22 23 nike nba miami heat yeezy boost 350 v2 wig shop yeezy sneakers men Iowa State Football Uniforms ja morant jersey originalmarquer le nouveau chapitre de l’histoire du groupe qui, lui, vise à renforcer son image et sa présence dans le paysage financier sans cesse croissant.

Cette cérémonie était surtout l’occasion de renforcer le lien avec clients et partenaires, fidèles au groupe depuis sa création en 1997.

Express Union, vers un nouvel envol…

Se réinventer pour mieux vous servir: telle est le nouveau slogan adopté par la marque Express Union pour annoncer le changement de son identité visuelle.

Cette nouvelle charte et logo qui la soutient s’inscrivent parfaitement dans l’innovation, la modernité et la proximité. Le bleu (ciel et foncé), couleur historique de la marque, décline en nuance sur un globe symbolisant la portée universelle du groupe et de ses services. La vague qui traverse le globe démontre le dynamisme du groupe et son mouvement vers l’avenir.

Pour rappel, cet établissement financier de deuxième catégorie est présent au Cameroun et dans la zone CEMAC (communauté économique et monétaire de l’Afrique Centrale).

D’ailleurs, la Société financière internationale (SFI), filiale de la banque mondiale dédiée au financement du secteur privé,a récemment approuvé un financement de 3 millions de dollars, soit environ 2 milliards de FCFA, au profit d’Express Union finance, entreprise camerounaise de microfinance contrôlée par l’homme d’affaires et milliardaire Albert Kouniche.

Concrètement, le financement octroyé par la SFI permettra à Express Union finance de soutenir davantage le développement des PME au Tchad, pays de la Cemac dans lequel cette institution de microfinance camerounaise opère depuis l’année 2007, avec un réseau de 38 agences.

C’est le 2e financement que la micro finance camerounaise de deuxièmes catégorie décroche auprès de la SFI en l’espace d’un an. En juillet 2022, à travers la Société camerounaise d’équipement (SCE) qu’il contrôle, cet opérateur économique avait déjà obtenu de cette filiale de la banque mondiale un prêt de 2 milliards de FCFA. Les fonds ainsi mis à la disposition de cet établissement financier permettront de doper le financement des PME camerounaises au moyen du crédit-bail.

La micro finance bosse donc d’arrache-pied pour le plein bonheur de ses clients, qui, eux, apprécient la nouvelle charte. Rendez-vous dans tous les points et services express union pour bénéficier de toutes les innovations en cours de lancement pour toujours mieux vous servir.

Badal

Auteur d’un match impressionnant lors de la 3e journée de Champions League où Manchester United recevait Copenhangue, le portier Camerounais a sauvé l’hommage à Charlton.

Après la disparition il y a quelques jours d’une de ses plus grandes légendes en la personne de Bobby CHARLTON, Manchester United avait l’occasion hier à domicile, en ligue des champions, de lui rendre un hommage des plus nourris. Lui qui a été un des artificiers majeurs du premier trophée du club dans la compétition penair max shoes lace front wigs soccer jerseys for sale air jordan 1 retro high og nike san diego padres cheap football jerseys durex skin feel best wigs NFL College Jerseys adidas yeezy shoes cheap football jerseys cheap football jerseys cheap basketball jerseys ja morant jersey original air jordan 1 retro high ogdant les années 1960. Pour cela, quoi de mieux qu’une victoire à domicile; devant son public, qui plus est quand on sait les débuts catastrophiques du club cette saison dans la compétition. La soirée hommage porte l’émotion à son pic, lorsqu’à la 72e minute, Harry Maguire ouvre le score pour les Red Devils. Le scénario est parfait.

Les mancuniens se dirigent vers une victoire qui leur permettra de rendre dignement hommage à leur illustre prédécesseur, lorsque dans les arrêts de jeu du match, Mc Tomminnay concède un penalty. Coup de tonnerre à Old Traford ! Les dannois sont alors à un coup de pied de gâcher le cocktail d’émotions en hommage à Sir Bobby CHARLTON. Le public retient son souffle ! Tous les espoirs mancuniens sont désormais remis entre les mains de leur dernier rempart André ONANA. Le joueur de Copenhague s’élance, tire et voit son tir stoppé par la main ferme d’ONANA, qui s’était envolé du bon côté. Old Traford exulte. Les autres joueurs se ruent vers ONANA pour le féliciter. Lui qui a tellement été critiqué depuis le début de la saison, sort l’arrêt qu’il faut au moment qu’il faut, pour SAUVER L’HOMMAGE À SIR BOBBY CHARLTON. Tout un symbole ! Un arrêt qui va certainement rentrer dans les annales de Manchester United.

« SAINT » Bobby CHARLTON peut désormais reposer en paix dans le ciel de Manchester, « Saint André » continuera à entretenir la légende qu’il a contribué à bâtir, dans son jardin d’Old Traford.

Chance ou hasard ? La réponse d’Onana

Tout d’abord auteur de 3 arrêts décisifs dans la rencontre, le médaillé de bronze de la CAN 2021 a enraillé le penalty de l’attaquant Suédois de 26 ans à la 97eme permettant ainsi aux reds d’empocher la première victoire (1-0) de la saison dans la compétition aux mancuniens.

Interrogé sur sa prestation , l’ancien gardien de l’inter est revenu sur ce pénalty et s’est confié surtout sur l’avenir:

J’étais confiant j’étais confiant dans le fait que j’allais le faire . En fin de compte Pour Nous il fallait le faire il fallait le gagner je suis très content de cette victoire maintenant nous devons avancer nous devons faire les efforts parce que ça ne sera pas facile de grands défis nous attendent et nous devons nous préparer.

C: André Onana

As-tu regardé le match ? Comment l’as-tu trouvé ? Je n’ai rien à redire, c’était un beau match.

Avec tout mon amour !

Badal

L’association Femmes Africaines pour le Développement (FAD) a organisé dimanche dernier, dans la ville de Douala, une marche en guise de sensibilisation au cancer du sein.

Voir la vie en roseadidas juventus 22 23 best male sex toys custom made soccer jersey buffalo bills jersey best adult store nike nba miami heat NFL College Jerseys best male sex toys milan jersey 2022 23 best human hair wigs online nike nba miami heat ja morant jersey original cheap jordan 4 best adult store air jordan sale, même si l’on sait très bien que tout ne l’est pas forcément. Tel est le credo de cette association qui milite pour l’éducation en combattant les mariages précoces et forcés des jeunes filles. Dirigée par Fatima Rich Ewane, journaliste en service à DBS Télévision, et autrefois mariée précocement, cette association entend sensibiliser la société à offrir plus d’opportunités aux femmes et filles, afin qu’elles puissent, elles aussi, voir la vie en rose. Même devant ce mal qui foudroie de nombreuses vies, face à la question ultime qui demeure : est-ce que ce credo gagne encore du sens ? Sa réponse est OUI.

Partie de mon domicile à 5h 30 pour l’école publique d’Akwa, lieu du top départ prévu à 6h qui s’est finalement donnée 1h plus tard. C’est dans les rangs des plus de 267 participants que j’ai réalisé pourquoi cette couleur a été pendant longtemps associée à celle de la féminité, la dissociant ainsi du bleu pour la masculinité. Bien des clichés encore présents dans nos sociétés…Quoi qu’il en soit, le rose est la couleur qui symbolise ce mois d’Octobre particulièrement important puisque chaque jour, plusieurs personnes, institutions, entreprises, associations, leaders d’opinions….se mobilisent contre un phénomène ravageur : celui du cancer du sein, l’une des premières causes de décès chez les femmes. Revenons un peu en arrière.

Pourquoi cette marche ?

La marche rose est une opportunité, une occasion de communication et d’engagement qui a pour objectif de sensibiliser les femmes (mais aussi les hommes) au dépistage du cancer du sein, de rencontrer de nouvelles personnes et de faire du réseautage. FAD s’est ainsi joint à la communauté internationale afin de mettre en lumière cette maladie restée assez taboue dans plusieurs localités du monde, et au Cameroun en particulier.

Cependant, les activités autour de la marche Rose (danse sportive, tir à la corde, concours de danse, dépistage VIH, palpation…) ont permis de fournir de nombreuses informations sur la maladie, ses conséquences et la prévention.

Selon des chiffres officiels : 1 femme sur 8 développe un cancer du sein au cours de sa vie. Selon l’OMS par exemple, plus de 2000 femmes meurent du cancer du sein au Cameroun chaque année.

Le cancer du sein : maladie taboue au 21e siècle

Même si on en parle dans les médias et les hôpitaux, cette maladie reste aussi tabou que le corps de la femme pour de nombreuses personnes dans la société, qui elle pourtant évolue. Le cancer du sein est malheureusement sans cesse en évolution sur le continent africain et très peu de femmes survivent à cause du manque de prévention ou encore de diagnostic précoce. Or, nous savons que plusieurs facteurs sont à l’origine de cette maladie dévastatrice.

Dans la société Camerounaise où l’accès à une santé pour toutes est problématique, nous sommes face à un manque accru de médecins (oncologues) ou de matériel de pointe permettant de détecter ou traiter la maladie. Très peu de femmes en parlent, par crainte de jugement toxique ou du regard pitoyable de la société. Cette épreuve aussi bien physique que mentale, nécessite donc un accompagnement à tous les niveaux du combat pour la survie des malades.

La prévention est un pouvoir que l’on néglige souvent. À la question de savoir si le cancer du sein peut se prévenir, l’oncologue et chef service oncologie a l’hôpital Laquintinie de Douala, Dr Eugénie Nancy Ndangue Ntone affirme:

Pas vraiment mais une bonne hygiène de vie et le dépistage systématique même en l’absence de tout symptôme peuvent aider.

Dr Nancy Ntone, oncologue et chef service oncologie à l’hôpital Laquintinie de Douala

Le cancer du sein est une maladie qui, malheureusement, sévit partout dans le monde, parlons-en donc aux femmes qu’on aime….pas seulement en octobre mais aussi souvent que possible !

Malgré la pluie, nous nous sommes séparés aux environs de 10h à la poste centrale de Bonanjo. J’y ai passé un très bon moment avec d’autres femmes et hommes autour d’une cause noble: le cancer du sein.

Dis-moi, qu’as-tu fait en ce mois d’octobre rose ? Et si je te parlais globalement de l’association Femmes Africaines pour le développement ?

Avec tout mon soutien aux Survivantes du Cancer du sein !

Badal

Joel Embiid, le pivot des Philadelphia 76ers a fait son choix. L’homme aux trois passeports – américain, camerounais et français – jouera pour la « Team USA » aux JO de Paris.

Désolé mais je n’ai pas pu retenir ma plume . Le meilleur joueur du monde de basketball en ce moment a refusé de jouer pour le Cameroujustin jefferson jersey yeezy shoes for sale custom made baseball jerseys nike air max 270 sale custom jerseys Florida state seminars jerseys sex toy shop ja morant jersey original 49ers jersey for sale nike nba miami heat milan jersey 2022 23 full lace wigs justin jefferson jersey milan jersey 2022 23 cheap jerseysn son pays d’origine, il a refusé de jouer pour l’Afrique la terre de ses ancêtres. C’est un fait. Je suis amusé quand je lis partout que c’est son choix. Ça devait être le choix de qui ? Mais oui c’est un choix difficile qui n’est réservé qu’aux grands hommes, qu’aux grands esprits, qu’aux personnes qui ont une forte personnalité, un choix réservé aux décomplexés.

J’ai lu des réactions sur l’immigration canada et la green carte comme élément de comparaison pour expliquer l’anomalie que nous a servir l’américain. Ceux qui font ses procédures cherchent ce que Embiid a déjà. Je m’arrête là ! Poussons la réflexion plus loin….

À la vérité le débat n’est pas à ce niveau. Les grands hommes marquent les esprits affrontent les difficultés, marquent leur temps mais surtout s’incrustent dans la conscience collective des populations sur la terre de leur ancêtres, c’est la seule condition qui fera qu’ils resteront éternels mêmes après leur passage sur terre. C’est en cela qu’ils sont GRANDS, LÉGENDES .

En revanche dans le contexte africain le plus souvent , leur destin est cruel, car ils doivent faire tout ça ! non pas pour eux mais pour les générations à venir parce qu’il est fort probable que dans leur génération ils recoivent de l’ingratitude comme remerciement sur le coup. Ils sont nés pour Impacter. Ça ne dépend pas d’eux c’est une volonté divine. Même si nous, Camerounais, nous aimons toujours chercher à nous approprier les talents que nous n’avons pas su encadrer. La vie a ses choix, chacun choisit ce qui est bien pour son avenir.

Mais une chose est certaine, Embiid aura beau construire les gymanses au Cameroun, faire des camps de basketball, envoyer des enfants à l’école, mais il lui manquera quelque chose aux yeux de ses compatriotes jadis, quelque chose que devait lui conférer la tunique vert rouge et jaune, l’acceptation, comme celui qui a accepté de partager les douleurs et les peines des gens qui n’ont plus que pour seule raison de vivre le sourire que peuvent leur procurer les exploits des sportifs de sa trempe.

Il est passé à côté de l’histoire pire encore les raisons évoquées, ses raisons à lui sont d’une inconsistance rigide qui frisent la démence … Non je refuse de croire que le fils d’un haut gradé de l’armé s’est concerté avec sa famille et nous a pondu ça(mettre le Cameroun sur la balance avec d’autres nations) il savait depuis le début qu’il ne jouerai pas pour le Cameroun car dit-il  ‘’je veux jouer les jeux olympiques ». Grossier mensonge, tu veux gagner la médaille d’or pour étoffer ton palmares. C’est noble, mais il faut être franc car sachez-le, le Cameroun est encore en lice pour se qualifier pour les jeux olympiques Paris 2024. Imaginons un seul instant que le Cameroun soit qualifié sans lui mais avec Siakam et autres, il aura l’air de quoi avec ses propos? Non je refuse de croire.

Mais l’histoire est têtue, la masse est folle, mais pas les âmes, chacun recevra la reconnaissance du peuple en fonction de son engagement et de l’amour qu’il a donné à celui ci. Mbah a moute est cité en exemple justement pour cela, Samuel Eto’o est cité en exemple pour tout ça, Francis N’Gannou et j’en passe.

Attention ! Dans cette approche, il ne faut pas voir les dirigeants de ce beau pays, mais il faut voir le pays en lui même la nation qui a plus que jamais besoin de ses fils pour s’affirmer. La nation est au-dessus de tous.

Même s’il gagne les JO avec les USA, il sera dans la masse un de plus. Le président George Weah rêvait de jouer une CAN avec le Liberia et lorsqu’il l’a fait et surtout marqué, il avait dit que ça dépassait même le ballon d’or qu’il avait gagné.

Mbah a moute n’a pas attendu qu’on ait une bonne fédération de basketball pour l’aider, pour faire sa part comme on dit au continent, il n’a non plus attendu que nos dirigeants soient bons pour mettre sur pieds un camp qui l’a détecté.

Nous sommes d’accord la fédération camerounaise de basketball n’a pas de siège, l’équipe nationale n’a pas de bus, les sélections inférieures n’existent pas. D’ailleurs mêmes les dernières élections ont été annulées à cause de plusieurs irrégularités. Avec tout ça, on voit mal comment on aurait pu gérer une star de sa trempe.

Seulement en venant, il allait contribuer à son niveau à changer et faire avancer les choses parce qu’il allait inspirer des milions de jeunes et leur donner de l’espoir. Autant lui dire la vérité une fois pour toute, le voir avec un maillot autre que celui du Cameroun n’a pas la même signification… Il n’aura pas les frissons que procurent l’hymne national repris en coeur par des camerounais dans une salle archi comble lors d’une compétition. C’est un moment unique et spécial réservé aux privilégiés. Il a abandonné le berceau de l’humanité.

Merci l’américain, j’avais même des retards de sommeil. Je ferme cette page dans mes écrits et récits. Le basketball a ceci de particulier que tu peux jouer avec plusieurs nations. Après les JO, on verra ce qu’il adviendra. Pour le moment je guette Siakam et Koloko.

L’autre jour, j’étais dans le camp de Siakam a l’école américaine, une fois que je me suis fait identifié comme journaliste, j’ai été conviée de quitter la salle ce que j’ai fait avec plaisir, ce qui ne m’a pas empêché de louer l’initiative et de conter ce que j’ai vu photo à l’appui. Je ne reviendrai par sur l’épisode de l’aéroport où il a snobé tout le monde, la presse y compris lors de son retour après son sacre en NBA avec les raptors. C’est ma contribution, dans notre métier ça fait partie du game.(Siakam, je reviendrai sur ton cas).

À la fin de la carrière on fera les comptes. Vous faites l’histoire, c’est nous qui la racontons.

D’ici là, prends soin de toi !

Badal !

Après une contre-performance au tour préliminaire de la Ligue des Champions Caf en août dernier, le champion du Cameroun en titre, a apaisé les cœurs de ses supporters hier dimanche à Douala, en venant à bout de Fovu club de Baham (2-0).

J’ai suivi la rencontre entre les deux champions du Cameroun avec beaucoup d’intérêt. Et je peux t’assurer que Coton sport de Garoua, va pouvoir démarrer la saison sportive 2023-2024 sur une note satisfaisante. Le club est sacré champion des champions du Cameroun de football 2023, après sa victoire (2-0) sur Fovu club de Baham, hier dimanche, 1er octobre au stade de la Réunification de douala.

Les cotonculteurs ont su tirer leur épingle du jeu dans cette rencontre qui les a opposés, eux, champion du Cameroun, au vainqueur de la Coupe du Cameroun de football. Grâce à Patient Wassou et Azize Bassane, auteurs des deux buts de la partie. Le premier intervient sur penalty à la 5e et le deuxième à la 34e sur un centre de Patient Wassou.

Grâce à sa victoire, Coton sport de Garoua a rectifié le tir, après être passé à côté de ce trophée l’an dernier. On se rappelle encore de la défaite du club (0-1), face à Bamboutos Fc, au stade Kouekong, à Bafoussam, dans la partie Ouest du Cameroun.

Au-delà du palmarès, le titre remporté par Coton sport de Garoua, va sans aucun doute consoler des fans, qui ont encore du mal à digérer la contre-performance du club cette saison en Ligue des champions Caf d’août dernier. Le parcours des vert et blanc de Garoua s’est arrêté au premier tour préliminaire de la compétition.

Ce trophée des champions est aussi pour Coton sport de Garoua, une motivation pour débuter la prochaine saison sportive en Élite One. Pour sa première sortie, le club, affrontera stade Renard de Melong.

Mon avis: Le trophée des champions ou l’exposition des carences du football camerounais ?

C’est la réelle question qui ne cesse de me hanter depuis hier soir. Car oui, il faut se dire les vérités. Le match d’hier était ennuyeux, sans réelle Intensité…

Un match opposant des champions (vainqueur de la coupe du Cameroun à celui du championnat élite one) avec en ligne de mire le trophée des champions, est censé être au niveau du spectacle et la qualité de jeu proposés par les acteurs, une véritable régalade pour les spectateurs et les téléspectateurs. Cette rencontre se devait d’être l’expression du savoir-faire local qualitativement parlant, entre deux équipes dites professionnelles, et ayant dominés la saison Sportive précédente, et donc supposée être ce qui se fait de mieux sur le plan local en termes de football.
Mais, ce que Fovu et Coton nous ont servi hier au stade de la réunification de Bepanda, était complètement très loin de ces attentes.

Un piteux spectacle donnant à regretter d’avoir fait le déplacement pour certains. Déchets techniques, faible tactique, pas d’intensité et autres. Mais comment une rencontre censée être la vitrine d’exposition du championnat local peut se transformer en un repas footballistique aussi indigeste?

La qualité de jeu produite était tributaire d’un faisceau d’éléments qu’il faut construire en amont et d’un canevas qu’il faut respecter.

D’abord la direction technique nationale (DTN). Qui peut me citer un pays au monde où le football est une référence en matière de qualité et d’organisation, sans une DTN fonctionnelle et opérationnelle de façon efficace ? La DTN, c’est le cerveau du football dans un pays. Penses tu qu’on peut avoir un football de qualité dans un pays en excluant le rôle sentinelle de la DTN, c’est imaginer que le cœur et le corps humains peuvent fonctionner avec un cerveau à l’arrêt. C’est de l’utopie et une hérésie pure et simple. A quoi ressemble la DTN au Cameroun ?

Il ne suffit pas de nommer un directeur technique national pour dire qu’on a une DTN. La direction technique nationale c’est le laboratoire où se pense et s’élabore sur le plan technique, où se façonne la vision technique qu’on a du football au sein d’une fédération, la substantifique moelle des leviers qui vont comporter la matrice d’un football sain, potable et qualitativement digeste capable de résister au rapport de forces dans le champ de compétition avec les savoir-faire d’ailleurs. C’est à la DTN que se définit le profil du footballeur qu’on veut former. C’est à la DTN que s’élabore les corpus et contenus de formation à appliquer dans les structures de formation pour avoir une homogénéisation dans la formation. C’est à la DTN que revient le travail d’aménagement et d’organisation des structures de formation.

Que faut-il pour être considéré comme un opérateur dans le domaine de la formation footballistique ? Que faut-il pour être considéré comme académie de football ou centre de formation ? C’est à la DTN que revient ce travail. Mais, comment y parvenir avec une direction technique nationale aussi bancale et qui se réduit en la personne du directeur technique nationale ? Ce n’est absolument pas possible !

Aujourd’hui, on constate que le domaine de la formation au Cameroun est un galimatias géant et refuge de quelques passionnés en panne d’occupation, à qui il suffit de posséder deux ou trois ballons et un espace vague pour commencer à faire courir les enfants, alors qu’ils ne disposent d’aucune formation d’éducateur. Quel type de footballeurs peut-on former avec ce genre de pratiques ?

A côté de cela, il y a également la formation des entraîneurs et éducateurs qui sont ceux entre les mains de qui repose la responsabilité de former ces footballeurs, de qui on attend qu’ils nous produisent le spectacle dans les stades. A ce niveau encore c’est un bazar total.
Je suis désolée de le dire, la formation des entraîneurs et éducateurs de football au Cameroun laisse vraiment à désirer. J’ai discuté avec certains entraîneurs et éducateurs qui m’ont confessé sous cape, les réalités regrettables des stages d’entraîneurs et éducateurs de football. La réalité c’est que les entraîneurs et éducateurs de football sont mal formés au Cameroun. Que cela plaise ou non, c’est malheureusement la réalité. Mais cela n’est pas en soi une surprise, puisque la structure en charge de l’organisation et la régulation des protocoles de formation de ces entraîneurs et éducateurs, de la garantie du respect des codes éthiques et moraux en rapport avec les cannevas de formation et de délivrance des diplômes (la DTN), ne peut rien face au marasme profond qui elle-même la consume.

L’autre question est de savoir : quel type d’élèves peuvent-ils être issus de la formation de formateurs eux-mêmes mal formés ?

Ensuite, il y a le football jeune. J’ai l’habitude de dire que le football jeune est le baromètre de mesure du diagnostic vital du football en général dans un pays. Au Cameroun, l’état des lieux du football jeune est alarmant. Malgré les annonces faites par l’exécutif actuel à l’aube de son mandat à grand renfort de publicité, la situation est stagnante, voire pire. Deux ans sans véritables compétitions. Bref, le football jeune est quasi à l’abandon et complètement tiré par les cheveux au Cameroun. Ce football qui est pourtant la mamelle nourricière en termes de ressources humaines des différentes sélections nationales et des équipes dites professionnelles.

Dans ce contexte, les générations sacrifiées se multiplient et constituent dès lors une source d’alimentation quasi intarissable de l’assombrissement actuel que l’on observe dans les résultats des sélections nationales.

DTN à la rue, football jeune somnolent, le tandem parfait de la construction d’un puzzle bien plus proche de la médiocrité. Il n’est dès lors pas surprenant de voir la constipation des résultats qu’on observe actuellement au niveau des résultats. Il est donc logique de voir en « élite », des footballeurs avec des problèmes de coordination censés être corrigés à 10 ou 11 ans en phase d’initiation à la formation. Il n’est donc pas surprenant de voir en « élite » des joueurs avec autant de déchets techniques. Il est donc logique de voir un match opposant « des champions » avec un niveau tactique aussi faible. On comprend pourquoi un individu est capable de se retrouver dans une équipe de première division sans être passé par un quelconque cursus de formation.
Dans tous les cas, quelle différence y-a-t-il au final entre un footballeur mal formé et un autre non formé ? La conséquence est la même. L’urgence d’une autopsie profonde et des réflexions sur l’orientation à donner à notre football s’impose car, à cette allure, la prochaine saison s’annonce être une véritable purge pour les spectateurs et téléspectateurs.

Ça, c’est mon ressenti après le match des champions.

Avec tout mon amour, Badal.

Le ministre de la santé publique, le Dr MANAOUDA Malachie, a procédé à l’inauguration officielle du centre d’hémodialyse de l’hôpital lauquintinie de douala ce vendredi, 29 septembre 2023.

Chargée de faire vivre l’évènement aux internautes, j’ai vécu ce moment avec beau d’attention. Et je te le conte dans ce billet.

En présidant personnellement cette cérémonie d’ouverture des tous nouveaux services de néphrologie d’une part et centre d’hémodialyse d’autre part, le Ministre de la Santé Publique, le Dr MANAOUDA, conforte l’opinion publique nationale et internationale sur la détermination pour l’Etat du Cameroun, d’offrir à tous les patients, des soins et services de santé toujours améliorés.

L’amélioration permanente de la qualité des soins et services de santé au Cameroun est un combat qui me tient à cœur.

Dr Manaouda Malachie, ministre devla santé publique du Cameroun

C’est en effet en présence de tout l’aréopage traditionnel, politique, et administratif de la région du Littoral que le Dr MANAOUDA Malachie a présidé la mise en service des bâtiments flambants neufs entièrement équipés d’appareils de pointe. De nouvelles acquisitions à la pointe de la technologie et avec un personnel bien formé, qui viennent indéniablement contribuer à relever une fois encore la qualité du plateau technique médical camerounais.

Par ailleurs, il convient de souligner que ce service de néphrologie tout neuf et le centre d’hémodialyse qui ne l’est pas moins, sont une contribution significative du gouvernement camerounais dans la gestion des « grands malades », souffrant de maladies rénales diverses. Car, avec ce nouveau geste, l’Etat du Cameroun réduira considérablement le nombre de patients atteints de pathologies rénales graves devant subir des hémodialyses, et obligés d’aller se faire suivre hors du pays.

A titre de rappel, un service de néphrologie et un centre d’hémodialyse sont deux structures qui se complètent précieusement, au cœur de la prise en charge et notamment de la prévention, des diagnostics, et du protocole de soins curatifs mis en route contre toutes les maladies rénales.

Ce centre est doté d’une capacité de 22 générateurs d’hémodialyse de dernière génération. Il dispose de deux salles de traitement d’eau moderne soutenue par un puissant groupe électrogène. La prise en charge de patients sera assurée par un personnel bien formé et qualifié : 3 médecins nephrologues, 1 médecin généraliste, 1 pharmacien et 11 infirmiers, auxquels s’ajoutent des personnels d’appui rompus à la tâche.

Dr Manaouda, ministre de la santé publique du Cameroun

Actuellement sur le territoire camerounais, une cinquantaine de générateurs de dialyse neufs sont opérationnels et plusieurs salles de traitement d’eau ont également été aménagées. Par ailleurs, notons que très récemment, à l’instar de l’Hôpital Laquintinie de Douala ce jour, avec ses 22 générateurs à système ouvert à l’utilisation d’autres kits dont 12 déjà fonctionnels, les villes de Ngaoundéré et de Kousséri ont bénéficié de centres d’hémodialyse nouvellement construits et entièrement équipés, soulageant une forte majorité de patients obligés de faire la route vers le Sud du pays mieux équipé, en quête de soins.

Ce fut une belle journée…

Badal

Rebecca Enonchong est la seule entrepreneure camerounaise qui figure dans le top 50 du baromètre de confiance Ecofin. Avec un bon de 15 points, elle est à présent classée à la 23e place.

Âgée de 56 ans, Rebecca Enonchong est et reste l’unique entrepreneure camerounaise parmi les 50 personnalités Africaines qui suscitent le plus confiance. Tu comprends qu’elle n’est pas mon crush pour rien ?

Avec une augmentation de 15 points, la tech woman occupe la 23e place pour cette deuxième version du baromètre Ecofin de septembre 2023. Contrairement à la 38e place qu’elle occupait en février dernier. Elle doit probablement cette confiance à son charisme d’entrepreneuse dynamique qui a consacré toute sa carrière à la promotion des nouvelles technologies en Afrique.

Notoriété

Sa notoriété, Rebecca Enonchong, la doit avant tout à son implication en faveur du développement des start-up africaines. Sur Twitter, elle compte plus de 206 000 followers. Cofondatrice du réseau AfriLabs, qui fédère aujourd’hui 347 hubs dans 52 pays du continent, mais aussi de l’incubateur camerounais ActiveSpaces, elle participe à de nombreux événements internationaux parmi lesquels VivaTech, rendez-vous annuel de la tech mondial, organisé mi-juin à Paris.

Les activités de son entreprise AppsTech sont, elles, moins connues. À partir de 1999, AppsTech devient l’un des distributeurs des solutions Oracle et opère aussi bien en Amérique du Nord qu’en Europe. L’entreprise profite notamment de la confiance du groupe France Télécom (devenu Orange). Au plus fort de son développement, AppsTech emploiera 200 salariés.

Rebecca Enonchong accumule les reconnaissances. En 2017, elle était notamment incluse dans le top 50 des Africains les plus influents de Jeune Afrique et dans le palmarès des 100 Africains les plus influents, dans la catégorie science, technologie et innovation du New African Magazine.

Présidente d’ActivSpaces, le centre africain pour la technologie, l’innovation et l’entreprise au Cameroun, Rebecca dirige également la Apps Tech et I/O Spaces (incubateur pour la diaspora africaine aux États-Unis ), deux structures qu’elle a créées.

Elle préside aussi le conseil d’administration d’Afrilabs et compte parmi les membres fondateurs de l’African Business Angel Network ( ABAN).

Bien a toi, Badal !

Je viens tout juste de finir ce K-drama de 12 épisodes, avec Ahn Hyo-seop, Jeon Yeo-been et Kang Hoon. Contrairement aux autres séries, j’ai pris tout mon temps ici. Je l’ai regardé en une semaine… Et je vais te dire pourquoi dans cet article.

A time Called You est un K-drama qui sort de l’ordinaire par son histoire d’amour qui est loin d’être pré-écrite. Cette série sud-coréenne oscille entre drame, romance et animation. Si tu aimes les schémas de K-drama classiques (un CEO riche et beau, une fille adorable mais perdue, un bisou à l’épisode 12 et un mariage à l’épisode 13), passes ta route.

L’intrigue de la série

Ici, l’histoire d’amour se joue à 4 personnes mais en réalité à 2, à travers le temps et à travers les corps (c’est complexe mais là je fais du sans spoiler). Les acteurs sont beaux, l’alchimie est présente, et l’émotion est partout. Les auteurs ont réussis à boucler la boucle à la fin, en évitant le plus possible les paradoxes temporels, ce qui n’était pas une mince affaire.

Après le décès tragique de son petit ami il y a un an, Jun-hee (Jeon Yo-been, Vincenzo), Glitch est toujours en train d’accepter le chagrin et l’angoisse de sa mort. Bien qu’elle fasse comme si tout allait bien, à l’intérieur, elle est perdue sans la présence apaisante de Yeon-jun (Ahn Yo-seop Business proposal) et l’amour qu’ils ont partagé.

Le jour de son anniversaire, elle reçoit un colis contenant un baladeur et une cassette mystérieuse. Alors qu’elle écoute la musique, elle s’endort et se réveille en 1998, dans le corps d’une lycéenne, Min-ju, qui lui ressemble physiquement. Elle se trouve à l’hôpital, après une agression et ne sait pas comment elle a atterri là.

Et elle a alors la surprise de trouver à son chevet, Si-heon, un élève de sa classe qui ressemble exactement à son défunt petit ami.

Jun-hee va devoir endosser le rôle de Min-Ju tout en cherchant à comprendre comment revenir en 2023. Elle va découvrir que Min-Ju est tout l’inverse d’elle : une jeune femme effacée, mal dans sa peau, sans amis et va, bien malgré elle, tout bouleverser dans la vie de la lycéenne. Elle va enfin chercher à découvrir qui a bien pu l’agresser.

L’histoire tire un peu en longueur sur les deux derniers épisodes, mais le final sonne juste.

Les leçons à retenir

. A Time Called You est une série assez inspirante qui va sûrement te plaire. J’ai été profondément touchée et émue. J’ai retenu pour toi 5 grandes leçons de vie que nous enseigne cette série.

#1- Apprends à vivre avec le chagrin

Tout le monde a un jour faire face à la perte d’un être cher. Il est important de reconnaître son chagrin et d’en parler à quelqu’un. Le chagrin est une partie normale de la vie et il est possible d’aller de l’avant. C’est ainsi que tu commenceras à guérir.

#2- Laisse le passé derrière toi

Le passé est le passé, tu ne peux pas changer le passé. La seule chose que tu peux faire est d’apprendre du passé et de te concentrer sur le présent.

#3- Sois assez ouvert.e au changement

La vie est en constante évolution. Sois flexible et prêt.e à t’adapter aux nouvelles circonstances.

#4- Profites du présent

La vie est précieuse, alors profites de chaque moment. Ne laisses pas le passé te priver du présent.

Pardonnes et libères toi

Le pardon est une libération. Apprends à pardonner à ceux qui t’nt blessé et à te libérer de la colère.

Mon avis

A time called you est un drama difficile à mettre dans une case, car il est un bon cocktail de voyage dans le temps, de romance et de thriller. L’histoire nous balade entre l’année 1998 et l’année 2023, au gré des voyages dans le temps de Jun-Hee. La jeune femme refuse en effet d’accepter de laisser le destin décidé pour eux, surtout lorsqu’elle apprend que Min-Ju a été assassinée en 1998. Elle va tout faire pour essayer de sauver la jeune femme.

Si le pitch t’intéresse, je te conseille de regarder tout à la suite, car j’ai vu sur certains forums que certaines personnes étaient un peu paumées dans l’histoire. Perso, je n’ai pas été dérangée, mais il faut bien avouer qu’il se passe BEAUCOUP de choses dans le drama, et que certaines choses auraient pu être allégées. Mais pour ma part, j’ai été cueillie par ces amants maudits qui cherchent à se retrouver, malgré les années et les évènements. Au final, la partie enquête est plutôt secondaire et l’histoire d’amour prend le pas.
Pourquoi ces deux personnes identiques, âgées d’environ cinq ans d’écart, existent-elles ? Comment se fait-il que Min-Ju et Jun-hee soient connectées ? Qu’est-ce qui fait voyager leur âme dans le temps vers d’autres corps ? Pourquoi le lecteur de cassettes ramène-t-il les gens à des époques différentes ? Bref, ce sont quelques nombreuses questions auxquelles je n’ai pas eu de réponses en fin de drama, et c’est finalement ce qui m’a un peu manqué. Cela et quelques incohérences : pourquoi Jun-Hee ne va jamais voir la police ? Quand elle comprend que Min-Ju a été agressée par un lycéen notamment, ou quand ses camarades lui parlent des photos qu’elles ont prises quand elle se déhabillait dans la classe. Mystère.

Sinon, j’ai beaucoup aimé cette série, qui par ailleurs est très bien jouée (sauf le « tueur » que j’ai trouvé trop caricatural) mais ces petits défauts font que je ne me mets qu’un 8/10.

N’hésite pas à regarder pour te faire ta propre idée.

Avec tout mon amour !

Badal

La seconde édition du DIF s’est ouvert à Douala la semaine dernière, le 20 septembre 2023, sous le thème : « Accélérer la transformation digitale pour accroître l’économie et le développement de l’Afrique centrale, et du Cameroun en particulier.« 

Pour la deuxième fois, les acteurs de l’écosystème technologique Camerounais et d’Afrique centrale se sont réunis durant deux jours pour discuter de l’accélération de la transformation digitale pour un avenir durable. Il a aussi été question des défis et des enjeux liés à l’accroissement de l’économie et du développement du Cameroun dans ce domaine.

La transformation digitale est un sujet d’actualité majeur dans le monde entier, elle l’est aussi particulièrement en Afrique où l’utilisation des technologies de l’information et de la communication prend de l’ampleur. Le continent africain a un atout : son plein potentiel et son immensité en matière d’innovation et de développement de l’économie numérique. Mais l’Afrique est aussi confronté à de nombreux défis tels que la faible connectivité, le manque de financement pour les projets d’innovation, ainsi que les problèmes liés au climat qui peuvent entraver la croissance de cette économie. C’est dans ce contexte que la deuxième édition du Digital Innovation Festival (DIF) a pris part. Un festival qui donne des perspectives intéressantes et prend tout son sens.

Ouverture du festival et mots d’accueil

Par l’exemple du Nigéria, du Kenya, de l’Afrique du Sud et de l’Égypte, monsieur Steve Tchoumba, directeur exécutif de ACTIVESPACES, n’a pas hésité à donner les motivations derrière ce festival.

Madame MBALLA Marie Berthe, Déléguée régionale du ministère des petites et moyennes entreprises, de l’économie sociale et de l’artisanat MINPMEESA, qui représentait son ministère de tutelle a ensuite ouvert le digital innovation festival.

« La politique de promotion de l’entrepreneuriat est au coeur du ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Économie Sociale et de l’Artisanat »

Dame MBALLA Marie Berthe, Déléguée régionale du ministère des petites et moyennes entreprises, de l’économie sociale et de l’artisanat MINPMEESA

Le digital innovation festival (DIF) et ses attentes

Le festival est d’une grande richesse : Riche en thèmes, riche en audiences des secteurs privé – public, riche par la qualité de ses intervenants et aussi par leur diversité (plus de 200 festivaliers ont pris part à ce rendez-vous de l’innovation). Le DIF encourage tous les actifs curieux à y participer afin de rester informé sur les dernières tendances en matière d’innovation, de technologie et d’entrepreneuriat. La priorité étant d’explorer les voies et moyens de la transformation digitale pour un avenir durable.

Entre panel d’experts, « workshop », « pitch contest » et exposition vente, le DIF est un carrefour du donner et du recevoir. C’est un véritable lieu d’échange, le lieu où investisseurs et porteurs de projets se rencontrent pour créer des connexions et mettre en évidence les défis et les opportunités de financement. L’esprit est donc très stimulant et encourageant.

Au-delà de ces articulations et du cadre confortable et stimulant mis en place, le DIF envisage de sortir une charte qui contiendrait des propositions fortes pour les acteurs du secteur public à la sortie du festival.

Quelques panels

Le débat sur les « défis de l’employabilité dans un contexte de transition écologique et énergétique » était vraiment fascinant. Les contributions données pour envisager de façonner l’avenir dans un monde plus vert et plus durable étaient très captivantes.

Au sujet de « Comment le secteur privé dynamise l’innovation et stimule la croissance économique à travers les partenariats publics-privés », monsieur Alain Olivier Mvondo, directeur de la caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS) répond :

« Il n’y a pas plus compétent que nous pour parler de nous ».

Monsieur Alain Olivier Mvondo, directeur de la CNPS

nsition écologique et énergétique pose en effet de nouveaux défis pour l’employabilité. Il n’a pas hésité à ramener sur la table les « insights stratégiques » qui permettront de façonner un monde meilleur grâce à la technologie. Le panel d’expert présents été à la hauteur pour discuter des solutions innovantes et des opportunités d’emploi dans ce domaine en pleine expansion. Les stratégies d’intra et inter connectivité pour les réseaux internet au Cameroun et en Afrique Centrale ont été abordés dans les profondeurs.

Au final, la journée d’ouverture du digital innovation festival s’est clôturée dans un esprit de satisfaction pour les uns et les autres. Le rendez-vous a été pris pour l’anne prochaine !

Avec toute mon affection !

Badal