Badal Fohmoh

Canon et Gazelle, les perdants de la première journée, n’avaient qu’une seule chose à faire: gagner hier s’ils voulaient rester dans la course au titre.
Pendant ce temps, Bamboutos et Coton, le vainqueur de la partie serait en pôle position pour devenir champion à l’issue de la 3e et dernière journée dimanche. Mais, le football se joue sur le terrain et c’est à Bepanda que le triomphe s’est fait.

Battus lors de leurs premières sorties aux play-offs, Canon et Gazelle s’affrontaient cet après-midi sous le soleil du stade de la réunification de Douala. Devant 31 695 spectateurs, le Kpakum a pris le dessus sur son adversaire (2-0) et s’est ainsi remis dans la course au titre.

Le Canon brise le rêve de Gazelle

Ce soir, le Canon sportif de Yaoundé est sorti de sa poudrière pour le compte de la 2e journée des Play-offs 2023. Les hommes de Souleymanou Aboubakar, très remontés après leur défaite (2-1) contre Bamboutos de Mbouda en ouverture, avaient à coeur de poursuivre l’objectif de cette saison: devenir champion du Cameroun.
Les Mekok Me Ngonda ont dominé le match de bout en bout, et Emmanuel Mahop va concrétiser cette domination en ouvrant le score à la 44e minute. Le meilleur buteur de l’Elite One, c’est vraiment un bulldozer, un peu à la Halland, il a juste besoin de bons passeurs…
D’ailleurs, il a profité d’un magnifique centre d’Essama Bengono pour ouvrir le score d’un casque imparable. Devant à la pause (1-0), les supporters des verts rouges sont sereins.

De retour des vestiaires, Gazelle va pousser sans jamais être dangereux. Calice d’or, entré en jeu, aura quelques occasions franches mais ne parviendra pas à tromper Mbaynaïssem. Un manque de réalisme que les coéquipiers de Dooh Moukoko vont corriger en fin de match. Paul Henri Tchikeu, de son surnom Laptop, va profiter de la passivité des défenseurs adverses pour inscrire le but du Break (2-0), à la 87e minute.

Canon a ainsi garanti son avance en remportant ses trois premiers points de la compétition. Ce qui lui permet de rester dans la course au titre, tandis que Gazelle, qui a manqué son exploit, dit au-revoir au sacre. Emmanuel Mahop est l’homme du match de cette rencontre.

Coton met Bamboutos à genoux

Vêtu de blanc, c’est un coton sport de Garoua gonflé à bloc qui a affronté Bamboutos de Mbouda hier soir. En toute maîtrise, les poulains de Jean-Baptiste Bisseck vont s’imposer 1-0 face aux Mangwas Boys de Mbouda. Dans ce match à fort enjeu, ce sont les hommes de Yves Clément Arroga qui se sont procurés les premières occasions. Bien entré dans son match, Yapende a donné du fil à retordre à Mekongo. Mais, c’était sans conséquence car le capitaine Che Malone veillait à la stabilité défensive de son équipe. Malgré ces occasions en première partie, Coton, comme Bamboutos, ne parviendra pas à ouvrir le score.

Au retour des vestiaires, les cotonculteurs vont prendre le jeu à leur compte. Assis au milieu de terrain, Harry Ako a quasiment enrayé toutes les occasions des Mangwas Boys et ça été la plaque tournante de son équipe. Jean-Baptiste Bisseck va procéder à quelques changements. Abdouraman Daman Bouba va profiter d’une offrande de Patient Wassou pour ouvrir le score à la 64e minute. Un but qui scellera l’issue de la partie. Coton enchaîne ainsi un deuxième succès de suite et s’installe confortablement à la tête du groupe et se rapproche d’un nouveau titre; le troisième de suite.

De son côté, Bamboutos voit son rêve s’envoler à quelques jours d’affronter Gazelle. Coton devra donc finir le travail ce dimanche face au Canon de Yaoundé ; une équipe qui l’a battue à deux reprises cette saison.

Dimanche, ça passe ou ça casse.
J’espère vraiment te voir dans les gradins.

Ce mardi 16 mai, Meyega et la commune de Yaoundé 1er ont lancé la phase d’accélération du programme de propreté de la commune dans les rues de la cité communale.

Dans sa détermination affichée à faire de Yaoundé 1er une cité saine et où il fasse bon vivre, le Maire de Yaoundé 1er, Jean Marie ABOUNA a, en ce mois de mai 2023, prescrit l’accélération du programme de propreté de la Commune. C’est ainsi que la Mairie de Yaoundé 1er a activement pris part à L’événement Vert, à l’initiative des Hauts- commissariats de Grande-Bretagne et du Canada au Cameroun.

En effet, L’évènement Vert consiste à éduquer les populations sur la protection de l’environnement, à travers l’élaboration d’un réseau Vert, le recyclage des déchets, l’acquisition et l’adoption par les populations, des attitudes et des comportements appropriés, pour une propreté optimale dudit environnement, comme l’a si bien indiqué le Dr Christian DENNYS du British High Comission.

Représentante du Maire, Madame Onambelé Bindzi Clémentine, 2ème adjoint, très attentive à l’appel, a saisi cette occasion pour inviter ses troupes jeunes à:

Marcher et nettoyer ici même aux alentours étant donné que nous venons de recevoir du matériel d’assainissement adapté

Onambelé Bindzi Clémentine, 2ème adjoint au Maire de Yaoundé 1er

L’activité s’est étendue sur l’itinéraire, Carrefour Vallée, Haut- commissariat du Canada, puis du British High Comission, en passant par le Carrefour Bastos, hôtel Azur.

Durant les travaux auxquels le Service d’Hygiène d’Assainissement et de l’Environnement de la Mairie de Yaoundé1er était partie prenante, il a été décidé de la mise sur pied d’un Réseau Vert. Monsieur NTSA, Chef dudit service, a rassuré sur la participation effective de la Mairie de Yaoundé1er à ce réseau Vert sur l’étendue de la commune du 1er Arrondissement de la capitale politique du Cameroun, d’autant plus qu’il cadre avec la vision du Maire Jean Marie ABOUNA, qui ne cesse d’ appeler au civisme des populations, en vue de la préservation de l’environnement.

A très bientôt !

Le Stade de la Réunification de Douala-Bépanda a connu une mobilisation des grands jours pour la première journée des play-offs MTN Elite One 2023. 27 835 camerounais se sont déplacés pour cette journée inaugurale. Gazelle, Coton, Bamboutos et Canon ont livré des matchs sans merci.

Comme toujours, j’ai pris part à ce grand rendez-vous du football camerounais. J’y ai d’ailleurs revu un ancien ami, devenu DJ. Cela fait plus de 8 ans que DJ Djile et moi, nous nous connaissons et que, chacun nourrit sa passion. Ce fut un extrême plaisir de se revoir et de (re) parler du passé, de notre Bafang, du présent et pourquoi pas de faire un peu de Kongossa…

Pour revenir au sujet, ils ont su tirer leur épingle du jeu, au terme d’une saison régulière passionnante. Hier, ils ont débuté la bataille pour la conquête du titre.

Flashback de la saison

Gazelle de Garoua, le promu, champion de MTN Elite Two la saison dernière, a survolé les débats dans la poule B, terrassant tout sur son passage, entend bien démontrer qu’aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années.

Mais attention à son dauphin Bamboutos de Mbouda, vainqueur du tout premier trophée des champions, qui sait comme d’habitude, s’appuyer sur ses nombreux supporters.

Il faudra aussi faire avec le Canon de Yaoundé, leader de la poule B, qui a dans ses rangs, un certain Emmanuel Mahop, meilleur buteur du championnat et qui caresse le rêve de reconquérir le titre de champion du Cameroun 23 ans après.

Pourtant, le super grand favori reste Coton Sport de Garoua. Le champion du Cameroun en titre, après un début de saison inquiétant, a réussi au finish impressionnant en restant candidat à sa propre succession. La première journée des play-offs 2023 était palpitante.

Le derby du Nord

Il était 15h passées de 10 minutes lorsque Alioum Alioum sifflait le coup d’envoi du match inaugural Gazelle Vs Coton. Un match plutôt terne, quoique pleins de rebondissements. La première période a été tumultueuse, des tentatives ratées, des tirs mal cadrés… Les deux équipes ont cherché le chemin des goals adverses sans jamais hélas, les trouver. Il a fallu atteindre la 76e minute de jeu pour que Limane Moussa trompe Marcelin Mbahbi dans son territoire. Coton 1, Gazelle 0 et le score en reste ainsi jusqu’à la fin du derby. Che Malone, homme du match.

Canon Vs Bamboutos

Dans cet autre match, tout était au rendez-vous. Bamboutos a eu beaucoup d’engagement, des crochets dévastateurs, des passes précises, des joueurs rapides et vifs, leurs frappes étaient adroites. Ils ont d’ailleurs réveillé le public dès la 9e minute grâce à un but de Ali Lamine Dang. 11 minutes plus tard, William Ekanga réussit une frappe qui paralyse Jourdain Mbaynaïssem dans ses goals. C’est l’euphorie totale, le stade est en transe, les millions de supporters du club jubilent de partout. Certains se ballandant avec des avocatiers au stade. Dans le stade ce soir, il y avait un ancien, un papa si heureux qu’il retira sa chemise après le deuxième but de Bamboutos.
Chemise enlevée, il se mit à danser tout heureux. Un policier vint lui dire que le match étant en direct, le monde entier voit son gros ventre. Mais lui quoi ? Il dansait de plus vif, tout Joyeux.

A seulement 20 minutes de jeu, le kpakum est mené 2 contre 0. Yves Alain Moukoko et ses coéquipiers ne se laissent pas aller. Ils se concertent pour ne plus commettre les mêmes erreurs.

Revenus des vestiaires, les canoniens ont repris leurs rythmes habituels. Bamboutos ne se laisse pas non plus faire. Les deux adversaires multiplient les centres en vain, jusqu’à ce que Paul Henri Tchikeu ne réduise le score à la 83e minute.
Plus rien d’extra jusqu’à la fin du match et au sacre de William Ekanga Lobe comme homme du match.

Ainsi s’achevait une journée mouvementée dans la cuvette de Bepanda. Les prochains matchs sont prévus pour ce jeudi 18 mai au même endroit. J’espère t’y voir.

D’ici là, prends bien soin de toi !

L’entreprise citoyenne MEYEGA ooo poursuit sa tournée de prospection dans l’arrondissement de Yaoundé 1er. La rencontre de ce mardi 9 mai 2023, a porté sur la collaboration avec les différentes Associations ( des mototaximen, des personnes engagées dans la collecte, le tri et le recyclage des déchets plastiques).

Les Comités de développement de l’arrondissement de Yaoundé 1er accompagnent également l’initiative dont l’objectif est de lutter contre la pollution plastique, ce qu’elle fait en apportant une solution palliative, des sacs écologiques « ECOBAG ».

Il est important de relever que ces emballages dits écologiques, si solides et résistants, vont limiter la prolifération des déchets- plastiques susceptibles de générer une pollution à long terme. En effet, les sacs ECOBAG, avec leur dégradation rapide, devront contribuer à la protection de l’environnement de Yaoundé 1er. Bien plus, les ECOBAG allègent les risques liés aux infections telles que le cancer , et bien d’autres.Enfin, les sacs ECOBAG renferment plusieurs types d’emballage : il s’agit d’emballages kraft de plusieurs gabarits, et capables de réduire considérablement la superposition des déchets plastiques. En ce moment où les questions d’organisation de la chaîne de distribution et de sensibilisation se posent, la promotrice de Meyega ooo, Mme MBOE a rassuré sur le déploiement à cet égard, appuyée par le chef de service d’Hygiène, de l’Assainissement et de l’Environnement de la Mairie de Yaoundé 1er. Pour Monsieur NTSA Jean Christophe:

L’initiative est louable, et de surcroît très belle jusqu’ici, car elle contribuera davantage à rendre le territoire de la commune abritant le palais présidentiel propre.

NTSA Jean Christophe, chef de service d’Hygiène, de l’Assainissement et de l’Environnement de la Mairie de Yaoundé 1er

En rappel l’entreprise Meyega ooo a tenu sa première journée de travail le 26 avril dernier. Au cours des assises, il s’est agi de présenter les emballages écologiques et les bienfaits y relatifs, aux populations de la mairie du 1er Arrondissement de la capitale politique du Cameroun. La Commune dirigée par Jean Marie ABOUNA dit non aux déchets plastiques.

J’ose croire que toi aussi.

Il y a un mois, Netflix rendait disponible la conversation entre Michelle et Oprah. La vidéo a explosé le nombre de vues. Et aujourd’hui, je partage avec toi, dans ce billet, la leçon la plus inspirante à retenir.

Plusieurs fois élue personnalité la plus influente et femme la plus riche du monde, Oprah Winfrey fait partir de ces femmes de médias étrangers qui ont bercé ma vie d’ado au lycée. Tellement j’en parlais que mon père m’appelait « sa Oprah de Touni ». Quand j’y pense, j’en ris aux éclats… Une Oprah qui reçoit une Michelle Obama, ancienne première dame des États-Unis, business woman et auteure de livres à succès, ça ne peut être qu’un échange d’idées fructueuses. Alors, si tu cherches des conseils de vie utiles et positifs, je te recommande de suivre cette conversation de 90 minutes sur Netflix entre Michelle Obama et Oprah Winfrey.

Cette conversation est remplie de choses encourageantes et inspirantes. La grande leçon qui ressort de cette conversation : Notre bonheur dépend de nos choix personnels, il est important de se concentrer sur ce que l’on peut contrôler pour améliorer notre qualité de vie, inspirer les autres et utiliser notre influence de manière responsable.

J’y ai entendu quelques leçons de vie très importantes :

#1- Tu es ton propre bonheur

Il est essentiel que tu comprennes que ton bonheur et ton épanouissement dépendent de tes choix personnels, plutôt que de les mettre entre les mains de ton partenaire ou des autres.

En te concentrant sur la création de ton propre équilibre, tu peux améliorer ta qualité de vie et inspirer ton entourage à en faire de même.

#2- Lâche prise par moment

Quand tu traverses une période difficile, tu ne peux pas tout gérer, il est important de te concentrer sur ce que tu peux contrôler et gérer directement, plutôt que de te laisser submerger par les éléments incontrôlables. Ton bien-être et ta positivité doivent venir de toi-même, en travaillant sur ce que tu peux contrôler, pour trouver ta propre lumière et inspirer les autres.

#3- Que ton interaction soit réelle ou virtuelle, sois positivement impactant

Utilises ton influence et ta visibilité de manière responsable en prenant en compte l’impact de tes paroles et de tes actions sur les autres, en transmettant des messages importants et en inspirant les autres à agir de manière positive. Cela nécessite une réflexion et une responsabilité dans tes choix de communication et ton interaction avec ton audience.

#4- Aide-toi en premier

Lorsque tu es dans une situation difficile sur le plan émotionnel, il est difficile de trouver la force de te remettre sur pied et d’imaginer partager ta positivité avec les autres. Dans ces moments, l’idée de partager ta lumière peut sembler impossible, mais il est important de ne pas perdre espoir et de te concentrer sur ta propre guérison pour ensuite pouvoir inspirer les autres.

#5- Ta vision du bonheur est personnelle

Ta vision du bonheur est souvent très restrictive et ne convient pas à tout le monde. De nombreuses personnes souffrent de dépression et d’anxiété car elles essaient de faire correspondre leur vie à ces définitions étroites du bonheur. Il est important que tu te rende compte que ta compréhension du bonheur peut varier d’une personne à l’autre, et que cela peut entraîner des problèmes de santé mentale si tu essaies de te confirmer à une norme qui ne te convient pas. Suis donc la voie qui te convient.

#6- Sois toi et demeure toi

Nous sommes tous authentiques et vrais dans notre nature profonde, mais il peut arriver que certaines personnes se sentent différentes et se mettent une pression pour être à la hauteur des attentes des autres ou pour éviter de faire des erreurs. Il est important de ne pas avoir peur d’être toi-même et de t’accepter tel que tu es, sans avoir besoin de te conformer à des normes sociales.

#7- Accepte qui tu es, et soit bienveillant.e envers toi même

C’est impossible que tu prouves ta vraie nature à travers les yeux d’une autre personne, surtout si cette personne choisit de te percevoir différemment. C’est pourquoi il est important que tu te concentres sur toi-même et que tu t’entraînes à être bienveillant.e envers toi-même, plutôt que de chercher l’approbation ou la validation des autres. Tu dois apprendre à t’accepter tel que tu es et à ne pas te juger à travers le regard des autres.

Voilà en gros mes leçons apprises de ce talk. Si tu as aimé ce contenu, n’oublies pas de le partager.

Avec tout mon amour !

Depuis fin avril, la toile camerounaise est en transe. Influenceurs de tout bord et internautes se mobilisent pour le boycott des deux compagnies majeures de télécommunications du pays: Orange et MTN. Lundi 24 avril, entre 13h et 14h, ils sont tous en mode Avion.

S’il y a bien une chose certaine, c’est la richesse que ces compagnies de téléphonie (MTN et Orange) se font au Cameroun. Encore que, ce sont des compagnies étrangères, les bénéfices iront directement dans leurs pays respectifs. Mais, est-ce une raison de les boycotter ? Pourquoi boycotter certaines personnalités publiques ? Mon avis dans ce billet.

Pourquoi je vais fermer mon téléphone

Organiser une action symbolique, pour faire savoir notre vœu de voir les entreprises de téléphonie mobile baisser les coûts inhérents aux produits qu’ils nous vendent, c’est tout, sauf demander leur départ du Cameroun, ni même s’en prendre à leurs intérêts.

C’est une manière de communiquer et d’interagir avec ces entreprises, avec lesquelles nous sommes en relation.

D’où vient-il que, plutôt que de soutenir cette dynamique, qui est dans l’intérêt de tout le monde (les entreprises, les clients, le peuple, et l’État), certains de nos compatriotes, dont j’ignore les motivations, brouillent le discours, faisant croire que :

#1- Ce mouvement social sera un échec.

#2- Ce mouvement citoyen ne changera rien.

#3- Il y a un risque d’instrumentalisation de ce mouvement.

4- Ce n’est pas parce que ça marche en Côte d’Ivoire que nous devons aussi le faire au Cameroun.

D’où vient-il que certains de nos compatriotes débitent de telles absurdités, au point de « casser » la mobilisation en cours, au lieu de la soutenir ?

Que redoutent-ils, au fait ?

Pourquoi les camerounais sont tout de suite frileux et deviennent très bavards, experts en stratégie, dès qu’on leur demander de mener une action collective : de faire quelque chose ensemble ?

Parfois, si nous ne sommes pas capables de soutenir de nobles causes et des actions citoyennes, ayons la décence de nous taire, sans brouiller le message de ceux qui les portent.

En ce qui me concerne, je vais, comme d’autres camerounais, marquer un arrêt, lundi entre 12h et 14h, pour demander, aux entreprises de téléphonie mobile de :

#1- Baisser les coûts de leurs produits.

#2- Améliorer la qualité de leurs services.

Il faut du reste souhaiter que ces entreprises de téléphonie mobile aient l’élégance de donner suite au message symbolique de leurs clients.

Car, à la vérité, nous n’avons ni envie de chasser, ni changer d’opérateur de téléphonie mobile !

Nous ne demandons que de meilleurs services, et à bon prix !

Qu’y a t-il de mal en cela ?

Vivement le mode avion !

Ce qui est magnifique avec le mode avion ci, c’est de nous révéler le visage hideux de certains passagers qui, s’étant eux-mêmes invités à un vol pour lequel ils n’ont pas été enregistrés, se croient investis du pouvoir divin, de dire au pilote, en altitude, comment l’avion ne doit pas être conduit ; mais sans jamais nous dire comment il devrait l’être : crash assuré !

Quelle cruauté ! Cruauté de gens qu’on dit équipés de parachutes ! C’est juste incroyable, ce que je vois dans ce pays ! Notre société a fabriqué des monstres de ce type. Des gonflables sans substance, qui ne savent pas que lorsqu’on a rien à dire, le silence peut être la plus grande éloquence. Encore une raison de croire que l’éducation aux médias et à l’information est une urgence. Class Pro a encore gagné.

Désabonnement massif : une question de dignité

Avant tout, il importe que je clarifie ma position sur cette « fatwa » lancée contre certaines personnalités publiques ayant récemment brillé par leurs injures à l’égard des camerounais passés en mode avion pour s’adresser aux entreprises du secteur de la téléphonie mobile.

Je suis contre l’idée de s’en prendre aux entreprises avec lesquelles ces derniers sont liés par des clauses contractuelles. Il ne nous revient pas de décider de la résiliation d’un contrat dûment signé entre deux entités. C’est à ces sociétés, en âme et conscience, de prendre acte et de tirer elles-mêmes, les conséquences du fait que : ses consommateurs ont purement et simplement rejeté ceux qu’elle a bien voulu ériger en égérie. En revanche, je suis bel et bien favorable au désabonnement massif des pages de toutes ces personnes et personnalités, qui ont voulu subrepticement user de leur aura pour brouiller et nuire au mouvement en cours. Par ces désabonnements qui n’en finissent plus, les consommateurs expriment dignement leur désir d’être respectés par ces individus qui ne valent pas plus que ce qu’ils valent. Ces «gonflables sans aucune substance», qui, se nourrissant à la mamelle des pauvres gens qui écument leurs pages et les légitiment, ont eu l’outrecuidance de les traiter de tous les noms d’oiseaux, pour avoir humblement eu la dignité de réclamer une offre améliorée en qualité, à leurs fournisseurs de services de téléphonie mobile.

Quel culot !

Quelle indécence !

Moustik le karismatik et Mahloox Le vibreur sont en train d’en payer le prix, si bien qu’ils en appellent au réabonnement.

Si ces désabonnements peuvent aider ces esprits errants à revenir sur terre ; à se souvenir qu’ils n’ont pas le droit de mépriser les droits de leurs compatriotes, ou de les narguer du haut d’un égo démesuré (dont les faits d’armes restent à construire) dans une affaire où personne ne les obligeait pourtant à prendre la parole, et à l’ouvrir aussi large qu’ils ont pu le faire, alors, ce sera une grande avancée pour notre démocratie et pour la salubrité de l’espace public.

Je suis pour une société des respects mutuels et de la courtoisie, consacrée en fétiche républicain, dans laquelle, personne (même pas les influenceurs) ne doit avoir de passe-droit, ni le droit d’avoir du mépris pour ce que les AUTRES ont de plus ontologique : leur dignité et leur amour propre.

Vivement, que les gens qui se sont sentis insultés (pour RIEN) se désabonnent de toutes ces pages – et en cascade ! – Dans l’espoir de meilleures et certaines retrouvailles.

À bientôt !

Avec tout mon amour !

Les médias publics français « France 24 » et « RFI » ont dévoilé lundi la liste des joueurs nominés pour le Prix Marc-Vivien Foé 2023. Cette distinction est décernée chaque année au meilleur footballeur africain évoluant en Ligue 1 française.

Le prix sera remis le 30 avril par un jury composé de journalistes sportifs et d’anciens footballeurs des deux médias. Au total, 11 joueurs africains ont été sélectionnés sur la base de leurs performances pour recevoir le prestigieux prix.

#1- Abdelhamid Younis, DF (Maroc / Reims)

Le défenseur marocain de 35 ans vit sa deuxième jeunesse au Stade de Reims. Il a fait 34 apparitions pour le club cette saison, dont 31 en championnat. Il a marqué un but et fourni une passe décisive. Il est surtout apprécié pour ses qualités défensives.

#2- Valdemama, attaquant (Guinée-Bissau / Troyes)

L’attaquant bissau-guinéen de 27 ans a marqué 11 buts en 29 apparitions toutes compétitions confondues pour Troyes lors de la saison 2022/2023. Mama Balde a également réalisé 3 passes décisives.

#3-CAMARA Mohammed, Milieu de terrain (Mali/Monaco)

Cette saison, le milieu de terrain malien de 23 ans a disputé 31 matches avec Monaco, dont 29 avec l’équipe nationale.

#4-DIALLO Habib, attaquant (Sénégal/Strasbourg)

L’attaquant sénégalais de 27 ans a fini de s’imposer à la pointe de l’attaque strasbourgeoise. Son compteur de la saison 2022-2023 affiche 15 buts en 30 matchs de championnat, soit 1 but tous les deux matches.

#5-FOFANA Seko, milieu de terrain (Côte d’Ivoire/Lens)

Véritable cadre du milieu lensois, Seko Fofana attise les convoitises des Grands d’Europe. Le colosse ivoirien compte quatre buts et quatre passes décisives cette saison pour 29 matches disputés en championnat avec les Sang et Or.

#6-HAKIMI Ashraf, défenseur (Maroc/PSG)

Certes le latéral marocain ne vit pas sa meilleure saison avec les Champions de France en titre. Mais ses statistiques justifient sa présence dans cette liste. En effet, il a planté quatre buts et délivré trois passes décisives en championnat avec le PSG.

#7-MBEMBA Chancel, défenseur (RD Congo/Marseille)

Le défenseur congolais se pose en véritable sentinelle devant le but marseillais. A 30 ans, il prouve qu’il ne sait pas faire que défendre. Il peut aussi marquer des buts, en témoigne ses six réalisations toutes compétitions confondues avec le club phocéen cette saison.

#8-MOFFI Terem, attaquant (Nigeria/Nice)

Le plus gros transfert de l’OGC Nice, Terem Moffi arrivé dans la Côte d’Azur en janvier dernier est auteur d’une belle saison. L’ancien avant-centre de Lorient, âgé de 23 ans, a inscrit jeudi en Europa League Conférence ses 6e et 7 buts lors des 8 derniers matchs avec Nice.

#9-MUNETSI Marshall, milieu de terrain (Zimbabwe/Reims)

Agé de 26 ans, le Zimbabwéen est l’une des sensations de Reims cette saison. Il est auteur de six buts et trois passes décisives en 27 rencontres de championnat.

#10-TRAORÉ Hamari, défenseur (Mali/Rennes)

Titulaire au poste de latéral droit au Stades Rennais, le Malien de 31 ans a marqué un but et délivré 2 passes décisives en 24 matches cette saison.

11-SAMED Salis Abdul, milieu de terrain (Ghana/Lens)

A 23 ans, le jeune latéral ghanéen s’est lui aussi imposé à ce poste. C’est l’un des joueurs à surveiller dans les prochaines années. Cette saison, il a marqué 1 but et distillé une passe décisive.

Voilà donc, la liste des footballeurs Africains en lice pour le prestigieux prix Marc-Vivien Foe. As-tu un favori ? Parlons-en en commentaire.

Sortie au cinéma le 23 mars dernier, la série The Night Agent est inspirée du roman de Matthew Quirk. Ce thriller d’action sophistiqué fait la part belle aux personnages. Impliqué dans un complot à grande échelle, l’agent du FBI Peter Sutherland montera jusqu’aux hautes sphères de l’Etat pour mettre à nu des intrus.

Au soir du 18 avril dernier, j’ai regardé avec beaucoup d’appétit cette série Netflix. The Night Agent m’a énormément rappelé les belles heures dans lesquelles 24h Chrono m’avait plongé : suspens, incertitude, intrigue jouée sur plusieurs tableaux… Bref, une série d’action comme je les aime. Cette série m’a vraiment emballée !

L’intrigue de la série

La série se base sur l’intrigue d’un roman de Matthew Quirk. Cet ancien journaliste diplômé de l’université d’Harvard a longtemps travaillé pour The Atlantic, revue traitant majoritairement de sujets sur le terrorisme, les gangs et, plus largement, le crime organisé. Autant de thématiques qui ont visiblement inspiré Quirk dans l’écriture de ses ouvrages policiers. À noter que celui sur lequel se base The Night Agent est directement tiré du Russiagate. Ce scandale survenu en 2016 portait sur une possible ingérence dans le cadre de l’ élection présidentielle. Une enquête sur de potentiels liens entre des membres de la campagne de Donald Trump et du gouvernement russe avait été ouverte. Cette série promeut tacitement l’idée que le monde ne peut être sauvé que par des individus honnêtes, prêts à désobéir à l’autorité et à faire ce qui doit être fait. J’ai retenu pour toi 7 leçons de vie que cette série enseigne.

Les leçons à retenir

Comme toute oeuvre d’art, des enseignements à tirer de The Night agent sont pertinents.

#1- La confiance n’est pas une garantie

Il est difficile de se fier à une personne, surtout à celles qui connaissent des secrets nous concernant. Si la confiance existait, l’eau n’allait pas cuire le poisson. La confiance est comme une épée à double tranchant, elle peut te donner la force de vaincre tes ennemis, mais si tu ne la manies pas correctement, elle peut te blesser.

#2- Fais attention au poids de l’héritage

Il est parfois difficile à supporter surtout quand on doit se battre pour perpétuer le respect du nom de sa famille. On n’a pas conscience de la charge émotionnelle que nos enfants devront supporter à cause du poids de nos erreurs.

#3- Le respect est une marque de sagesse

Ne laisse pas une promotion professionnelle te rendre arrogant et irrespectueux envers tes aînés dans le travail. L’expérience et la sagesse auront toujours leur mot à dire face à l’intelligence et la technique. On a toujours quelque chose à apprendre des autres. Le travail d’équipe est essentiel. Tu ne peux pas réussir seul.

#4- Adaptes toi aux situations

La véritable force réside dans notre capacité à nous adapter aux circonstances et à trouver des solutions créatives aux problèmes qui se posent à nous.

#5- L’observation est une arme redoutable

Ne sous-estime jamais le pouvoir de l’observation. En remarquant les détails, tu peux trouver des indices importants qui t’aideront à résoudre des problèmes.

#6- Mefies toi des apparences

Les apparences sont souvent trompeuses. Les gens ne sont pas toujours ce qu’ils semblent être. Il est important de prendre le temps de comprendre les motivations des gens avant de les juger.

#7- Pas d’options, pas de règles

Lorsque tu n’as pas d’options, tu n’as pas de règles. Parfois, la seule issue est de passer.

J’espere que tu as aimé. Avant d’aller regarder si tu ne l’as pas encore fait, dis-moi, quels sont tes films-séries actues ?

Avec tout mon amour !

Eugène Christophe Njock est camerounais, professionnel de danse urbaine mais pas que. Il fait partie de ces professionnels qui en dansant, écrivent son histoire. Aujourd’hui, je t’invite à faire un break dans son monde.

Un adage inconnu dit que:

Il y a deux sortes de passions: les passions que nous avons et les passions qui nous ont. On triomphe quelques fois des premières« 

Inconnu

Je peux te dire qu’il existe des exceptions et le cas d’Eugène en est une car la danse et lui, ils se sont donnés l’un à l’autre.

Immersion dans sa vie

Eugène est né un 17 juillet à Bafang, dans l’ouest du Cameroun. De 2008 à aujourd’hui, il a développé ses compétences professionnelles à travers l’Afrique, en particulier l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Il est considéré comme l’une des figures les plus importantes de la communication et de la gestion de projet dans le secteur de la danse urbaine au Cameroun au cours de la dernière décennie. Adolescent en quête d’identité issu d’un milieu modeste, Eugène a trouvé du réconfort dans la pratique de la danse hip-hop à 15 ans, échappant au piège de la délinquance juvénile et de sa tragédie. Il a bien performé dans de nombreuses compétitions majeures organisées au Cameroun (compétition Mboa, Challenge Vacances, etc.) de 2008 à 2010.

Persévérant, il a continué de s’entraîner avec les meilleurs danseurs sur le terrain de la ville de Douala. Il est le fondateur du clan Akatsuki, l’un des groupes les plus riches de la capitale économique camerounaise. Et ce n’est pas tout.

Son expérience Béninoise

Début 2012, il s’envole pour l’Afrique de l’Ouest, le Bénin plus précisément, pour poursuivre ses études universitaires, mais n’empêche pas sa passion pour la danse de se professionnaliser. Il a suivi des stages de danse au Centre Culturel de la Compagnie Wâlo et au Centre Chorégraphique Multicorps à Cotonou. En 2014-2015, il a été nommé plusieurs fois champion du Bénin (Festival the Jam, Cotonou Dance Concept, Street Dance Show, etc.).

Il rejoint ensuite BravOo, une équipe collective panafricaine composée d’éminents danseurs du continent africain, dont Khoudia (Sénégal), Belleka Dexter (Libéria), Kirsner (Brazzaville, Congo), Yann Gbédji (Bénin) et Hans Peter (Gabon ).

C’est aux côtés de l’entrepreneur culturel béninois Kevin Adjalian et avec l’association l am Afro qu’il a vraiment appris à connaître la gestion de projets culturels.

Il s’est formé dans ce domaine dans des projets tels que le festival de danse féminine She’s on fire à l’Institut Français de Cotonou et Battles « Brûle la Piste » au Centre Chorégraphique Multicorps. Il a également évolué dans le même groupe de danse WDC que les étoiles montantes béninoises Sahadath Amir Touré et Daniel Ahiphon. Ils ont offert une superbe performance sur scène par le Moov Dance Crew.

Son retour au Cameroun

En 2016, il revient s’installer dans son Cameroun natal et s’impose comme l’une des figures de proue de la danse urbaine dans la ville de Douala. En hip hop, dans le Battle National régional Cameroun (Littoral) et dans le Keep on Breaking régional.

Gagnant, il a décidé de prendre du recul dans la compétition et d’influencer le mouvement du back office par d’autres moyens. Par exemple, en 2017, il a lancé le blog Danseur du Mboa, qui contribue à la promotion des danseurs au Cameroun. Il a écrit plus de 100 articles et a été sur la bonne voie en remportant le prix du meilleur blogueur aux HC Danse Awards en 2018.

Toutefois, Eugène Christophe Njock est passionné par la conduite et la gestion de projets culturels, démontrant ses compétences sur de nombreuses plateformes telles que le Festival Last popper et le Festival International Modaperf. En 2018, il a été conférencier lors de la 1ère assemblée générale annuelle de la Fédération nationale des arts et sports urbains et sera responsable des communications nationales depuis sa création en mars 2018 jusqu’en mars 2022.

Danseur multidisciplinaire influent reconnu, il ajoute au mouvement Krump, popping et hip-hop camerounais à travers ses concepts fédérateurs The Last Popper, Krump On The Street et Team Namek. Il a été juge et conférencier lors de nombreux événements, notamment : à la 10e édition du Douala Music’Art Festival (Domaf 10), le carrefour de l’art urbain en Afrique centrale.

Succès

Fin 2021, Eugène a écrit une merveilleuse fiction sur l’expérience d’une fille africaine dans un village. Avec ce texte, il a remporté le premier prix du concours d’écriture du 75e anniversaire de l’UNICEF organisé par l’association des blogueurs du Cameroun (ABC).

Il a complété son écriture en suivant un cours de journalisme patrimonial et culturel co-animé par l’association culturelle Route des chefferies et le webmagazine panafricain Noo Cultures. Diplômé en économie d’entreprise (Licence Comptabilité et Finance et Master Professionnel Comptabilité et Audit Financier) il a également une expérience professionnelle dans le secteur bancaire et les universités privées. Il approfondit continuellement ses recherches sur les modèles économiques, le management et la gestion de projets dans les industries culturelles et créatives (ICC). Il est impliqué auprès de l’ICC en tant qu’administrateur de l’organisation culturelle African Rising, développant des projets pour promouvoir les jeunes talents africains. C’est un vrai changeur de jeu.

De 2020 à 2023, il est personnel administratif dans une université privée de la ville de Douala, enseignant la communication et la gestion de projet aux étudiants en master des cycles d’ingénieurs et aux professionnels de l’industrie.

Il sera par la suite invité à la grande finale Airtel Beach Dance à Libreville au Gabon en mai 2022 pour un échange professionnel avec des danseurs locaux de la ville d’Owendo.

Cette année, il a participé au meeting photo de la 1ère Biennale de Douala (Repdoul). Eugène Christophe Njock est également bénévole sur la plateforme Wikipédia et il y vise à référencer un maximum d’acteurs culturels parmi les plus actifs du spectacle vivant camerounais et africain.

Au menu de cette immersion alléchante, j’ai découvert un parcours professionnel captivant, imposant et respectable. Je connaissais l’homme mais pas le parcours. Et là, je suis très séduite.

Bravo Eugène !

Je suis conquise et très fière.

Avec tout mon amour !

Le tech hub féminin camerounais organise à Douala du 12 au 22 avril des journées portes ouvertes (JPO). Au programme, ativités jeunes, professionnelles, jeux ludiques, ateliers, meetup, réseautage… Plus d’informations dans ce billet.

African Women in Tech Startups (Africanwits) est en effet une association à but non lucratif qui déploie ses activités au Cameroun depuis 2016. Elle regroupe en son sein un réseau féminin pour la vulgarisation des TIC, un incubateur technologique, un organe consultatif pour l’autonomisation des femmes et les jeunes dans le numérique et les technologies émergentes, mais aussi l’accompagnement des projets communautaires autour de l’éducation, de l’entrepreneuriat et de l’inclusion numérique en Afrique subsaharienne. Cette année, elle organise sa première édition des journées portes ouvertes (JPO).

POURQUOI LES JPO ?

Les JPO( Journées Portes Ouvertes) pour cette association sont des évènements organisés pour permettre au public de découvrir les activités et les services proposés par celle-ci.

Cependant, l’association veut également:

– valoriser ses membres en mettant en avant leurs compétences, réalisations et savoir-faire

– Faire découvrir les activités offertes à l’écosystème féminin et jeunes

– Sensibiliser le public à sa cause

– Renforcer sa visibilité et son impact

– Permettre au public de rencontrer les membres de l’équipe, poser des questions et en apprendre davantage sur l’association

– Découvrir l’association, son siège, ses activités, ses membres et son fonctionnement

– Présenter ses projets, activités et réalisations( notamment le festival femme numérique, Carav’Elles, Tech-hub féminin, Girls in ICT day, AfricanWITS academy, AfricanWITS young leader…) et renforcer ses liens avec la communauté locale.

LES CIBLES ET LES ATTENTES

Comme tout évènement du genre, Africanwits désire nouer de nouveaux partenariats avec des organisations, entreprises, écoles, fondations, entrepreneures… tout en promouvant ses activités afin d’obtenir plus de visibilité auprès d’un public plus large. Recruter de nouveaux membres qui partagent les mêmes valeurs et objectifs, est aussi l’une des attentes phares du tech hub. Les jeunes ( élèves/ étudiants ) à partir de 7 ans et plus; filles et femmes, professionnels, entrepreneur(es), associations, ONG, porteurs de projets sont tous attendus afin d’être sensibilisés à la cause de l’association. Elle attend également des visiteurs un engagement dans des actions concrètes pour soutenir sa noble vision.

Les activités ont démarré depuis lors et le programme est attrayant chaque jour un peu plus.

Toutefois, il faut noter que c’est la toute première édition et elle a lieu quelques semaines après l’inauguration du Tech hub et la récente visite du haut commissaire du Canada au Cameroun et pendant la préparation de l’évènement Girls in ICT.

Je donnerai un atelier de sensibilisation sur la désinformation et les Fake news ce mercredi, j’espère t’y voir.

Rendez-vous pris. Alors, sois ponctuel !

Avec tout mon amour !