La vraie fausse identité des footballeurs…
Au-delà du football, la double identité est un vrai sujet national voire continental. Les camerounais me font rire. Ils font genre - ils sont vraiment surpris par cette affaire d’âge.
Un professeur qui choisit un entraîneur devant un ancien footballeur, je le vois comme un chirurgien qui vient expliquer la maçonnerie à un ingénieur en bâtiment. Ça résonne dans ta tête ? Rire. Il n’y a qu'au Cameroun que c'est possible (Mdr).
Les finales, grande et petite, pour le champion du Cameroun ont rassemblé du beau monde ce jour au stade de la réunification de Douala. Coton champion, Canon vice champion, Bamboutos et Gazelle respectivement 3e et 4e. Le récit dans ce billet.
Celui qui n'entretient pas l'unité de production (joueurs), la production (matchs) n'aura plus d'oeuf en or (victoires). Ici la poule c'est le championnat Élite One. Les œufs sont les victoires qui induisent les milliards. A chacun d'user de son discernement pour savoir qui est le fermier. Ce n'est pas Badal.
"Quand j'ai choisi la Suisse, j'ai toujours eu cette part de moi qui voulait représenter mon pays natal. Mais on ne peut pas faire comme en club et jouer pour deux nations différentes. Je suis le premier fan du Cameroun… C’était un moment difficile. J’ai repoussé le choix pendant quelques mois. J’avais même l’opportunité de rejoindre le Cameroun. Breel Embolo avoue avoir été sollicité par le staff des lions indompables, mais s'est retrouvé face à un choix cornélien entre la Suisse et le Cameroun.
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