Les risques de castatrophe réunit du beau monde à Douala

Article : Les risques de castatrophe réunit du beau monde à Douala
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16 novembre 2023

Les risques de castatrophe réunit du beau monde à Douala

L’hôtel Akwa Palace de Douala sert depuis hier et ce, jusqu’à demain vendredi, de lieu de théâtre des travaux sur la gouvernance des risques

C: Badal Fohmoh

Le lancement de la mise en œuvre du projet de renforcement de la gouvernance des risques de catastrophe et des capacités de relèvement au Camcheap human hair wigs lace front wigs buffalo bills jersey ja morant jersey original nike jordan proto max adam and eve adult store adidas juventus 22 23 nike air max 95 cheap jordan 4 philadelphia eagles kelly green jersey adam and eve adult store cheap jordan 4 College Rugby Jersey cheap soccer jerseys philadelphia eagles kelly green jerseyeroun s’est tenu hier, dans la ville de douala, en présence des responsables locaux.

Suite à la rencontre conjointe, (présentiel et en ligne) organisée par le programme des nations unies pour le développement (PNUD), et la bureau des nations Unies pour la réduction de risques (UNDRR), le démarrage international dudit projet s’est tenu en mars dernier.

C: Badal Fohmoh

Ce projet qui sera mis en œuvre dans 6 pays Africains dont le Cameroun; a été marqué par la présence de monsieur Hermann Zoto, représentant du gouverneur de la région du littoral, monsieur Martin Zah-Njo, assistant représentant du résident chef unité développement durable et résilience climatique.

Monsieur Hermann Zoto, représentant du gouverneur de la ville de Douala. C: Badal Fohmoh

Rappelons que le projet s’inscrit en droite ligne aux recommandations de la COP 27, dont une analyse inclusive des besoins au niveau national avait été réalisée sur la base des consultations approfondies de la zone Afrique par le PNUD et l’UNDRR. Et c’est donc ce processus qui a abouti à la mise sur pied de ce projet. Les objectifs du projetL’atelier vise de manière spécifique à:

– réduire l’impact des catastrophes, y compris celles liées aux changements climatiques et aux risques biologiques

– accroître la résilience des pays de l’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) les 3 prochaines années- présenter le projet proprement dit

– arrêter les activités à mettre en œuvre dans le cadre de ce projet et étudier les termes de référence y afférents- établir un chronogramme de mise en oeuvre des activités retenues dans le cadre du projet

– présenter le secrétariat technique chargé du suivi du projetNotons que la méthodologie mise en place se base sur une réunion plénière entre les représentants des parties prenantes, de la société civile et des communes concernées.

Et avec la participation des experts du PNUD afin d’échanger sur les points présentés, et s’accorder sur l’ordonnance de la mise en œuvre des activités retenues à cet effet. Cependant, l’évaluation des risques et des capacités de relèvement des pays bénéficiaires (Cameroun, Burundi, Ethiopie, Ghana, Niger et le Togo) obéit à la composante du programme intra-ACP de réduction des risques et catastrophes financé par le 11ème fonds Européen de développement. L’enveloppe totale prévue pour ledit projet s’élève totalement à 6 millions de dollars américains dont, 200 000 dollars à mobiliser pour chaque pays cette année.

Comme l’a dit monsieur Zah-Njo :

Avec toutes les parties prenantes présentes, nous espérons réduire grandement les risques de catastrophes en tenant compte des personnes fragiles telles que les femmes et les enfants…

Martin Zah-Njo, assistant représentant du résident chef unité développement durable et résilience climatique du PNUD Cameroun

La question des femmes, des enfants et des minorités sont prises en compte sur ce projet qui s’inscrit dans une approche de changement de comportements.

C: Badal Fohmoh
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